|
EN BREF
|
Lors d’une récente matinale, Laurence Esquedin et Frédéric Schall de EEC ENGIE ont abordé des sujets cruciaux tels que l’écomobilité, les énergies renouvelables et le bilan carbone. Ils ont évoqué l’importance de favoriser des modes de transport plus durables, tels que la marche, le vélo et les transports en commun, dans un contexte où la réduction des émissions de CO₂ est primordiale. EEC s’engage activement dans la transition énergétique, visant une part de 70% d’énergies renouvelables d’ici 2030 et a déjà pris des mesures concrètes pour maîtriser son empreinte carbone.
Ecomobilité, énergies renouvelables et bilan carbone : une discussion essentielle
Au cours d’une récente matinale, Laurence Esquedin et Frédéric Schall, deux représentants de l’entreprise EEC ENGIE, ont pris le temps de débattre autour des thèmes cruciaux de l’écomobilité, des énergies renouvelables et du bilan carbone. Dans un contexte mondial marqué par le changement climatique, ces sujets sont d’une importance capitale pour l’avenir environnemental de notre planète. Cette discussion met en lumière les initiatives déjà mises en place par l’entreprise en Nouvelle-Calédonie ainsi que les perspectives d’avenir en matière de transition énergétique.
L’écomobilité comme alternative durable
Le concept d’écomobilité se définit comme un ensemble de solutions visant à favoriser des modes de déplacement respectueux de l’environnement. Cela inclut la marche, le vélo, les transports en commun et le covoiturage. À l’heure où le réchauffement climatique s’impose comme une priorité mondiale, il devient essentiel de repenser nos habitudes de transport et de réfléchir à des alternatives au « tout en voiture ».
Les émissions de CO₂ issues des transports représentent une part significative des gaz à effet de serre contribuant au changement climatique. En Nouvelle-Calédonie, différentes entreprises contribuent activement à cette transition, cherchant à sensibiliser le grand public et encourager des pratiques plus durables. Les solutions innovantes sont vitales pour réduire notre empreinte carbone collective.
Un engagement véritable d’EEC ENGIE
EEC ENGIE, fournisseur d’énergie en Nouvelle-Calédonie, a pris des mesures significatives dans le domaine de l’écomobilité. En 2016, l’entreprise a signé une charte écomobilité qui témoigne de son engagement à réduire son impact environnemental. Laurence Esquedin souligne que cette initiative n’est pas nouvelle pour l’entreprise : « Il y a plus de vingt ans, nous étions déjà dans une démarche d’écomobilité avec la réalisation du bilan carbone ou encore l’acquisition d’un véhicule électrique. » Cette anticipation témoigne d’une vision à long terme des enjeux environnementaux.
Transition énergétique et production d’énergie renouvelable
Actuellement, la production électrique en Nouvelle-Calédonie est composée à 80% d’énergies carbonées et à 20% d’énergies renouvelables. Les autorités visent toutefois à augmenter ce chiffre à 70% d’énergies renouvelables d’ici 2030. EEC ENGIE s’inscrit dans cette dynamique actuelle de transition énergétique. Frédéric Schall mentionne : « Nous sommes considérés comme site positif, c’est-à-dire que l’on produit plus que l’on consomme. » Cette phrase illustre parfaitement l’engagement de l’entreprise à adopter des pratiques de production énergétique durables.
Mesures concrètes pour réduire les émissions de gaz à effet de serre
L’une des réalisations notables d’EEC est sa capacité à mesurer et maîtriser ses émissions de gaz à effet de serre. En effet, l’entreprise a été la première en Calédonie à procéder à un bilan carbone, avec la première évaluation en 2008, suivie d’une mise à jour en 2018. Frédéric Schall précise que « Aujourd’hui les chiffres sont bons car nous arrivons à maîtriser notre consommation. » Cette approche fondée sur des données tangibles est cruciale pour établir des stratégies efficaces de réduction des émissions.
Actions innovantes pour un avenir durable
Pour compléter son programme de réduction d’empreinte carbone, EEC ENGIE a mis en place plusieurs actions concrètes. Parmi celles-ci, on trouve le développement de bornes de paiement en ligne qui permettent d’éviter les déplacements des clients. De plus, la digitalisation des services et le télétravail sont également encouragés. Ces mesures montrent que l’entreprise est proactive dans son approche face aux enjeux environnementaux, tout en facilitant la vie de ses clients.
En matière de transport, l’entreprise met également en avant l’accessibilité aux transports en commun, avec des initiatives visées pour 2024 qui pourraient révolutionner la façon dont les Calédoniens se déplacent. L’intégration de ces services dans un système de mobilité global est essentielle pour construire un avenir durable sur l’île.
Un bilan carbone au cœur des préoccupations environnementales
La question du bilan carbone est indissociable des préoccupations environnementales actuelles. Des études montrent que les énergies renouvelables, bien que moins polluantes, ont également un impact, notamment au niveau de la fabrication des équipements, de leur fonctionnement et de leur rechange. Cela souligne l’importance d’une évaluation précise de chaque source d’énergie.
Les initiatives d’EEC ENGIE en matière de bilan carbone et d’énergies renouvelables peuvent être plus largement comprises grâce aux études et articles disponibles. Par exemple, une analyse approfondie sur le bilan carbone dans le secteur de l’énergie renouvelable peut être consultée ici : Le bilan carbone dans le secteur de l’énergie renouvelable.
En quête de solutions novatrices
L’article disponible sur Atmosphère Climat, qui aborde les énergies renouvelables et leur bilan carbone, met en lumière plusieurs sources d’énergies renouvelables, notamment l’électricité produite par le soleil, l’éolien et l’hydraulique. L’enjeu principal de cette transition énergétique est de minimiser le bilan carbone en maximisant l’utilisation de ressources durables.
Il est également essentiel de rester conscient des conséquences de notre dépendance aux énergies fossiles, et d’agir de manière prompte pour réduire notre empreinte écologique. L’étude de cas sur les énergies renouvelables démontre que la recherche d’un équilibre entre efficacité énergétique et protection de l’environnement est un défi permanent. Pour lire l’article, cliquez ici : Les énergies renouvelables et le bilan carbone : une étude de cas.
Les perspectives d’avenir
L’engagement de sociétés comme EEC ENGIE souligne qu’il est non seulement possible, mais nécessaire d’adopter des pratiques plus responsables. Les références à des projets futurs démontrent que l’innovation et la mise en œuvre d’initiatives différenciées sont des clés essentielle pour un changement pérenne en matière de consommation d’énergie.
Les efforts continus pour réduire les émissions de CO₂ et promouvoir des technologies propres doivent également être soutenus par l’ensemble de la société. L’avenir des énergies renouvelables repose sur l’accélération de l’investissement dans la recherche et le développement ainsi que sur des politiques incitatives destinées à renforcer la transition énergétique à long terme.
Conclusion de la matinale et appel à l’action
Lors de cette matinale, il est réellement apparu que le chemin vers une société plus durable commence par des conversations ouvertes et des engagements clairs. Les intervenants, Laurence Esquedin et Frédéric Schall, ont mis en lumière l’importance de la coopération entre les entreprises, les gouvernements et les citoyens afin de bâtir un avenir plus durable. En prenant des mesures concrètes, telles que la promotion de l’écomobilité et la mise en œuvre d’énergies renouvelables, il est possible de contribuer à la santé de notre planète et à celle des générations futures. Cet esprit de partenariat et de responsabilité est, sans aucun doute, l’un des leviers pour un avenir prometteur.
Ecomobilité, énergies renouvelables et bilan carbone : un débat essentiel
Dans un contexte où le réchauffement climatique met en lumière l’urgence d’agir, la promotion des modes de transport durables devient cruciale. La marche, le vélo, les transports en commun et le covoiturage apparaissent comme des alternatives viables au « tout en voiture ». Ce choix, qui s’impose tant aux particuliers qu’aux professionnels, interroge notre rapport à la mobilité responsable.
En Nouvelle-Calédonie, certaines entreprises se distinguent par leur engagement vers une écomobilité exemplaire. La société EEC Engie, fournisseur d’énergie, est un parfait exemple. Laurence Esquedin, responsable de la communication, insiste sur le fait que leur démarche a débuté il y a plus de vingt ans avec l’initiative d’un bilan carbone et l’acquisition de véhicules électriques. Selon elle, signer la charte écomobilité de l’Ademe en 2016 a été une logique de valorisation de leurs efforts antérieurs.
Engagement vers la transition énergétique
Actuellement, l’électricité en Nouvelle-Calédonie provient majoritairement de sources carborées, représentant 80% de l’ensemble, face à seulement 20% d’énergies renouvelables. L’objectif défini par le gouvernement d’atteindre un mix énergétique de 70% de renouvelables d’ici 2030 est ambitieux. Frédéric Schall, responsable des services généraux d’EEC, souligne que l’entreprise est considérée comme un site positif, ce qui signifie qu’elle produit plus d’énergie qu’elle n’en consomme.
« Nous arrivons à maîtriser notre consommation. »
Frédéric Schall
EEC Engie est également pionnière en Calédonie pour son bilan carbone, l’ayant réalisé pour la première fois en 2008, puis de nouveau en 2018. Frédéric Schall partage que les résultats actuels sont prometteurs grâce à une bonne gestion de leur consommation. Par exemple, la replantation d’arbres compense à 100% les émissions de CO₂ générées par le parc automobile de l’entreprise.
Parmi d’autres initiatives mises en place pour minimiser leur empreinte carbone, EEC a introduit des bornes de paiement en ligne pour réduire les déplacements des clients, a digitalisé ses services, facilité l’accès aux transports en commun, et encouragé le télétravail avec des objectifs précis à atteindre dès 2024.

